Dès qu’un individu entreprend une action, il ne peut faire l’économie de la prise de risque. Celle-ci intègre au mieux les objectifs et les contraintes du moment. Mais on sous-estime parfois à quel point elle s’inscrit dans un environnement d’interactions qui nous influencent en permanence. Intégrer cette «écologie» est une nécessité. Cette écologie de la prise de risque est éclairée singulièrement par l’expérience de l’alpinisme, avec des enseignements que les dirigeants, les managers et les acteurs de terrain peuvent s’approprier.